Livrés à eux-mêmes, les enfants commencent petit à petit à déserter le camp. Cependant, quarante d’entre eux ont rebâti leur maison sur les ruines de l’ancien complexe et se sont mis à cultiver la terre pour survivre. Les 160 autres sont partis pour la capitale ou quelque part dans la Grande Ile, certains sans doute sont devenus des dahalo.

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